Elasmucha fieberi (Jakovlev, 1865)
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communes -
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observateurs -
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organismes -
Première observation
1988 -
Dernière observation
2011
Avertissement : Seuls les producteurs et les fournisseurs du jeu de données, renseignés dans les métadonnées, sont affichés dans la liste ci-dessous. Ces derniers auront, pour un même jeu de données, une part d'aide à la prospection égale. Par conséquent, les pourcentages affichés ne sont pas cumulables entre eux.
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Parc Naturel Régional et géoparc mondial UNESCO Normandie-Maine
Participation à 1 Observation
Part d'aide à la prospection : 33.33 %
Fiche organisme
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Inventaire National du Patrimoine Naturel
Participation à 1 Observation
Part d'aide à la prospection : 33.33 %
Fiche organisme
Informations espèce
Diagnose :
Petite punaise brune aux pattes jaune orangé. Les bords de son abdomen (connexivum) sont bicolores alternativement noir et jaune. Les angles huméraux du pronotum sont plus larges que l’abdomen mais ne forment pas de pointes acérées. Les antennes sont entièrement noires et le ventre est ponctué de noir. Juste derrière l’œil, une petite épine aussi grande que le diamètre de l’œil est présente sur les deux angles antérieurs du pronotum.
Détermination : Moyennement difficile.
Espèces proches :
Cette espèce est proche d’Elasmucha grisea. On la distingue par la couleur des antennes dont les premiers articles sont clairs chez cette espèce, et la présence de petites épines derrière les yeux, absentes ou plus courtes chez E. grisea. D’autre part, la face ventrale d’E. grisea n’est pas ponctuée de noir.
Période d’observation : Juin à aout.
Biologie-éthologie :
Sa biologie est peu connue. Sa plante hôte principale semble être le bouleau. Elle a aussi été trouvée sur l'aulne, le noisetier et divers arbres à feuilles caduques. Espèce plus forestière que les autres Acanthosomatidae. On la rencontre en pleine forêt sur les grands arbres, ou dans les landes et clairières ensoleillées. Comme les autres Elasmucha, la femelle protège ses œufs contre les prédateurs et les parasites en restant en permanence sur sa ponte comme si elle la couvait. Elle protège ensuite ses larves.
Biogéographie et écologie :
Espèce eurosibérienne présente jusqu'à 67° de latitude nord. Elle est absente en Grande-Bretagne. À l'est, on la rencontre jusqu'au Japon et en Corée. En Europe elle est très rare. Sa grande rareté cache certainement un mode de vie méconnue. Elle pourrait vivre principalement dans la cime des arbres et passerait ainsi inaperçue.
Source : fiche descriptive, INPN
Répartition actuelle en France métropolitaine
Cartographie issue de l'INPN - Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes au niveau national : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives.
Observations mensuelles
Avertissement : les observations sans date précise peuvent être enregistrées à la date du 01/01. La fréquence des observations au mois de janvier ne reflète donc pas nécessairement la réalité.
Sources des données du taxon
Avertissement : Les producteurs (personne en charge de la plateforme) et les fournisseurs (personne ou organisme ayant récupéré les données et les ayant transmises au SINP) de données, affichés dans les graphiques ci-dessus, sont issus des métadonnées transmises lors du versement des données sur la plateforme.