Neottiglossa pusilla (Gmelin, 1790)
- 3 observations
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2
communes -
2
observateurs -
2
organismes -
Première observation
1988 -
Dernière observation
2007
Avertissement : Seuls les producteurs et les fournisseurs du jeu de données, renseignés dans les métadonnées, sont affichés dans la liste ci-dessous. Ces derniers auront, pour un même jeu de données, une part d'aide à la prospection égale. Par conséquent, les pourcentages affichés ne sont pas cumulables entre eux.
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Inventaire National du Patrimoine Naturel
Participation à 2 Observations
Part d'aide à la prospection : 66.67 %
Fiche organisme
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Parc Naturel Régional et géoparc mondial UNESCO Normandie-Maine
Participation à 1 Observation
Part d'aide à la prospection : 33.33 %
Fiche organisme
Informations espèce
Diagnose :
Petite punaise foncée et brunâtre à la tête aussi longue que large recourbée en avant. Antennes dont l’article II dépasse l’apex du clypéus (nez). Une fine ligne longitudinale centrale plus claire traverse le pronotum et s’étend sur le scutellum, mais n’est pas ceinturée de noir. Une petite tache noire est présente à l’extrémité de son scutellum. Scutellum qui ne dépasse pas la longueur des cories (partie sclérifiée des ailes antérieures). Le connexivum (bord de l’abdomen) porte un liseré clair externe. Les angles antérieurs du scutellum sont soulignés de lignes blanches allongées moins longues que le tiers de la longueur du scutellum.
Détermination : Moyennement difficile.
Espèces proches :
C’est la plus petite et la plus sombre des Neottiglossa. On la distingue par son ventre presque entièrement couvert d’une tache noir-bronzé, les parties latéro-ventrales de l’abdomen ponctuées de noir et par son connexivum noir bordé d’un fin liseré clair externe.
Période d’observation :
Mai à octobre.
Biologie-éthologie :
Elle se nourrit sur beaucoup de graminées : agrostides, avoines, fromental, canches, fétuques, molinies, fléoles, pâturins. Les laîches des zones marécageuses font aussi partie de leur régime alimentaire.
Biogéographie et écologie :
Espèce à distribution eurosibérienne, atteignant la Scandinavie jusqu'à 66° de latitude nord, et répandue vers l’est dans toute la Sibérie jusqu’en Corée. Elle s’observe jusqu'à 1 800 m d’altitude. On la rencontre en milieux herbeux, frais et humides, sur sol acide : landes à bruyères et molinies, abords des marais et des tourbières, clairières, lisières forestières, et prairies naturelles, pelouses montagnardes. Espèce assez commune dans les habitats favorables préservés.
Source : fiche descriptive, INPN
Répartition actuelle en France métropolitaine
Cartographie issue de l'INPN - Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes au niveau national : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives.
Observations mensuelles
Avertissement : les observations sans date précise peuvent être enregistrées à la date du 01/01. La fréquence des observations au mois de janvier ne reflète donc pas nécessairement la réalité.
Sources des données du taxon
Avertissement : Les producteurs (personne en charge de la plateforme) et les fournisseurs (personne ou organisme ayant récupéré les données et les ayant transmises au SINP) de données, affichés dans les graphiques ci-dessus, sont issus des métadonnées transmises lors du versement des données sur la plateforme.