Armadillidium depressum Brandt, 1833
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Première observation
2000 -
Dernière observation
2000
Avertissement : Seuls les producteurs et les fournisseurs du jeu de données, renseignés dans les métadonnées, sont affichés dans la liste ci-dessous. Ces derniers auront, pour un même jeu de données, une part d'aide à la prospection égale. Par conséquent, les pourcentages affichés ne sont pas cumulables entre eux.
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Parc Naturel Régional du Perche
Participation à 1 Observation
Part d'aide à la prospection : 100.00 %
Fiche organisme
Informations espèce
D'une taille relativement importante (> 15 mm) Armadillidium depressum, comme son nom l'indiqué, est relativement aplati. Sa volvation est variable, parfois gris-noirâtre uniforme, mais souvent parsemé de taches jaunes plus ou moins étendues. Les jeunes et les femelles sont de coloration plus variée que les mâles adultes. La volvation est incomplète (type pseudosphérique). La lame frontale est grande, large et possède une petite pointe dirigée vers l'arrière. Le bord postérieur du premier péréionite dessine une courbe régulière.
Détermination :
La détermination de cette espèce est relativement aisée sur la façade atlantique (confusion uniquement possible avec A. nasatum, à la lame frontale plus haute que large) mais plus compliquée dans le bassin méditerranéen du fait de sa proximité avec A. alassiense (lame ne présentant pas de pointe vers l'arrière, telson plus triangulaire) voire A. sordidum (corps moins aplati, lame plus basse, telson plus trapézoidal)
Période d’observation :
L'espèce est visible toute l'année, mais évite les périodes de grande sécheresse. Elle est surtout visible la nuit..
Biogéographie et écologie :
Cette espèce présente une répartition duale, avec un pôle méditerranéen où elle est localement très commune (régions montueuses des Alpes Maritimes par exemple) et la façade atlantique, où elle est connue essentiellement des îles et de quelques villes portuaires, ainsi que ponctuellement plus à l'intérieur des terres jusqu'en Mayenne. Le climat océanique semble lui correspondre puisqu'elle colonise également le sud de l'Angleterre. En milieu naturel, c'est une espèce que l'on rencontre essentiellement sur les zones rocheuses et rocailleuses, ainsi que les entrées de grottes. Ailleurs, elle s'est adaptée et colonise volontiers les vieux murs en pierre, où elle côtoie souvent Porcellio spinicornis.
Source : fiche descriptive, INPN
Répartition actuelle en France métropolitaine
Cartographie issue de l'INPN - Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes au niveau national : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives.
Observations mensuelles
Avertissement : les observations sans date précise peuvent être enregistrées à la date du 01/01. La fréquence des observations au mois de janvier ne reflète donc pas nécessairement la réalité.
Sources des données du taxon
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