Cyphostethus tristriatus (Fabricius, 1787)
- 24 observations
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19
communes -
18
observateurs -
5
organismes -
Première observation
1950 -
Dernière observation
2023
Acquigny - Athis-Val de Rouvre - Canapville - Clef Vallée d'Eure - Cuverville - Cuverville-sur-Yères - Douvrend - Haudricourt - La Haye-Malherbe - Lonlay-l'Abbaye - Mantilly - Pacy-sur-Eure - Pierrecourt - Ponts sur Seulles - Ryes - Saint-Philbert-sur-Orne - Sept-Meules - Ticheville - Versainville
Avertissement : Seuls les producteurs et les fournisseurs du jeu de données, renseignés dans les métadonnées, sont affichés dans la liste ci-dessous. Ces derniers auront, pour un même jeu de données, une part d'aide à la prospection égale. Par conséquent, les pourcentages affichés ne sont pas cumulables entre eux.
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Parc Naturel Régional et géoparc mondial UNESCO Normandie-Maine
Participation à 4 Observations
Part d'aide à la prospection : 16.67 %
Fiche organisme
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GRoupe d’ÉTude des Invertébrés Armoricains
Participation à 3 Observations
Part d'aide à la prospection : 12.50 %
Fiche organisme
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Inventaire National du Patrimoine Naturel
Participation à 2 Observations
Part d'aide à la prospection : 8.33 %
Fiche organisme
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Habitants-bénévoles (PNRNM)
Participation à 1 Observation
Part d'aide à la prospection : 4.17 %
Fiche organisme
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Conseil Départemental de l'Orne
Participation à 1 Observation
Part d'aide à la prospection : 4.17 %
Fiche organisme
Informations espèce
Diagnose :
Petite punaise en losange géométrique, avec la tête, le pronotum et le scutellum verts et les ailes antérieures (cories) avec des motifs en chevrons de couleur marron-rose caractéristiques. Le premier article de ses antennes ne dépasse pas le bord de sa tête.
Détermination : Simple
Espèces proches :
C’est la seule espèce d’Acanthosomatidae qui possède des motifs en chevrons de couleur marron-rose sur les cories avec le premier article antennaire ne dépassant pas le bord de la tête. C’est également la seule espèce de cette famille à être associée spécifiquement aux genévriers et certains cyprès.
Période d’observation : Mars à octobre mais parfois aussi observée pendant l’hiver.
Biologie-éthologie :
Cette espèce pique pour se nourrir les baies de plusieurs espèces de genévriers. Elle fréquente donc beaucoup plus les arbres à baies femelles que les arbres mâles sans baie. Depuis les années 2000, on l’observe aussi sur les cyprès ornementaux et les thuyas introduits dans les jardins. On la trouve parfois aussi sur les pins. Ses motifs cryptiques de couleur lui assurent un camouflage disruptif étonnant et très efficace dans le feuillage épineux d’un genévrier.
Biogéographie et écologie :
C’est une espèce ouest paléarctique qui ne dépasse pas l’Ouzbékistan à l’est et qui atteint 60° de latitude nord en Suède. Elle apprécie les milieux ouverts relativement secs, les landes où poussent des genévriers isolés et bien exposés au soleil. Elle est assez commune dans ces biotopes et les genévriers qui portent des baies mûres violettes sont les plus propices à son développement et peuvent regrouper des dizaines d’individus sur un même arbre.
Source : fiche descriptive, INPN
Répartition actuelle en France métropolitaine
Cartographie issue de l'INPN - Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes au niveau national : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives.
Observations mensuelles
Avertissement : les observations sans date précise peuvent être enregistrées à la date du 01/01. La fréquence des observations au mois de janvier ne reflète donc pas nécessairement la réalité.
Sources des données du taxon
Avertissement : Les producteurs (personne en charge de la plateforme) et les fournisseurs (personne ou organisme ayant récupéré les données et les ayant transmises au SINP) de données, affichés dans les graphiques ci-dessus, sont issus des métadonnées transmises lors du versement des données sur la plateforme.