Eysarcoris aeneus (Scopoli, 1763)
- 15 observations
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8
communes -
9
observateurs -
4
organismes -
Première observation
1988 -
Dernière observation
2020
Canapville - Feings - La Lande-de-Goult - Lonlay-l'Abbaye - L'Orée-d'Écouves - Mantilly - Rives d'Andaine - Saint-Patrice-du-Désert
Avertissement : Seuls les producteurs et les fournisseurs du jeu de données, renseignés dans les métadonnées, sont affichés dans la liste ci-dessous. Ces derniers auront, pour un même jeu de données, une part d'aide à la prospection égale. Par conséquent, les pourcentages affichés ne sont pas cumulables entre eux.
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Parc Naturel Régional et géoparc mondial UNESCO Normandie-Maine
Participation à 6 Observations
Part d'aide à la prospection : 40.00 %
Fiche organisme
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Conseil Départemental de l'Orne
Participation à 5 Observations
Part d'aide à la prospection : 33.33 %
Fiche organisme
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GRoupe d’ÉTude des Invertébrés Armoricains
Participation à 3 Observations
Part d'aide à la prospection : 20.00 %
Fiche organisme
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Bureaux d'études & consultants (hériter PNRNM)
Participation à 2 Observations
Part d'aide à la prospection : 13.33 %
Fiche organisme
Informations espèce
Diagnose :
Petite punaise grisâtre arrondie qui a le clypéus (nez) libre et non enclos par les jugas (joues), et le bord antérieur du pronotum avec 2 taches noir-violacé métallisé. Elle a les angles huméraux du pronotum pointus et saillants et dépassant la largeur de l’abdomen, les bords latéraux antérieurs du pronotum concaves, et les angles de la base du scutellum avec 2 grandes taches blanches (calus) ovales.
Détermination : Simple.
Espèces proches :
Cette espèce ressemble à Eysarcoris ventralis mais s’en distingue facilement par ses angles huméraux pointus et saillants, la présence de callosités blanches de grande taille à la base du scutellum, et les bords antérieurs du pronotum concaves.
Période d’observation :
Mai à octobre, avec un pic principal en juin et un autre en aout-septembre.
Biologie-éthologie :
Elle a été observée sur plusieurs genres de labiées : brunelles, épiaires, galéopsis, sarriettes. Elle a été aussi signalée sur d'autres plantes comme la pulicaire dysentérique ou le millepertuis. Les individus se cachent parfois à l’intérieur de la corolle des plantes. De plus, elle fait partie de la douzaine d’espèces causant le plus de problèmes à la culture du riz au Japon.
Biogéographie et écologie :
Espèce Paléarctique, elle atteint le sud de la Grande-Bretagne et le Danemark jusqu'à 57° de latitude nord, le Japon vers l’est, l’Afrique du Nord et l’Inde vers le sud. Elle est absente de la région méditerranéenne et évite les rivages marins. Elle habite les milieux frais et humides, et même semi-ombragés où elle est assez commune : landes et lisières forestières, marais, tourbières, prairies, forêts en bordures de rivières, abords des étangs.
Source : fiche descriptive, INPN
Répartition actuelle en France métropolitaine
Cartographie issue de l'INPN - Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes au niveau national : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives.
Observations mensuelles
Avertissement : les observations sans date précise peuvent être enregistrées à la date du 01/01. La fréquence des observations au mois de janvier ne reflète donc pas nécessairement la réalité.
Sources des données du taxon
Avertissement : Les producteurs (personne en charge de la plateforme) et les fournisseurs (personne ou organisme ayant récupéré les données et les ayant transmises au SINP) de données, affichés dans les graphiques ci-dessus, sont issus des métadonnées transmises lors du versement des données sur la plateforme.