Callicera aurata (Rossi, 1790)
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1
commune -
2
observateurs -
2
organismes -
Première observation
2020 -
Dernière observation
2020
Avertissement : Seuls les producteurs et les fournisseurs du jeu de données, renseignés dans les métadonnées, sont affichés dans la liste ci-dessous. Ces derniers auront, pour un même jeu de données, une part d'aide à la prospection égale. Par conséquent, les pourcentages affichés ne sont pas cumulables entre eux.
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Parc Naturel Régional et géoparc mondial UNESCO Normandie-Maine
Participation à 2 Observations
Part d'aide à la prospection : 100.00 %
Fiche organisme
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Inventaire National du Patrimoine Naturel
Participation à 1 Observation
Part d'aide à la prospection : 50.00 %
Fiche organisme
Informations espèce
Moyenne, 11 à 13mm.
Diagnose :
Les Callicera sont de très jolis syrphes qui se distinguent notamment avec leurs longues antennes noires dont la partie terminale (arista) est blanche, ce genre compte 6 espèces en France. On reconnaît cette espèce grâce à la tête bicolore jaune et noire, le thorax qui est brillant avec deux bandes de pruinosité n'atteignant pas le scutellum. L’abdomen est couvert d'une pilosité rousse aux reflets de bronze. Les pattes principalement sont jaune orangé avec les tarses noirs contrastant nettement.
Facilité d'identification :
Difficile, détermination à la loupe binoculaire recommandée.
Confusions possibles :
Principalement avec toutes les autres espèces du genre Callicera.
Période de vol :
Les adultes sont visibles de mai à mi-octobre avec un pic de juillet à septembre.
Répartition générale :
Espèce présente dans pratiquement toute l'Europe mais semble limitée au nord à la partie sud de la Suède et de la Norvège. Vers l'est elle en Turquie, dans le sud de la Russie puis vers le Caucase et jusqu'en Azerbaïdjan.
Habitat et biologie :
Cette espèce fréquente les forêts de feuillus composées de chênes ou de hêtres comprenant de très vieux arbres sénescents. En plus d'être une espèce rare et patrimoniale, les adultes sont particulièrement arboricoles et restent souvent haut dans les arbres, ils ne descendent que rarement pour butiner ou boire sur les bords de ruisseaux. Les observations de cette espèce sont donc assez peu nombreuses. La larve se développe dans les cavités pourrissantes des arbres vivants (notamment dans les chênes et les hêtres).
Speight, M.C.D. (2020) Species accounts of European Syrphidae, 2020. Syrph the Net, the database of European Syrphidae (Diptera), vol. 104, 314 pp., Syrph the Net publications, Dublin.
Source : fiche descriptive, INPN
Répartition actuelle en France métropolitaine
Cartographie issue de l'INPN - Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes au niveau national : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives.
Observations mensuelles
Avertissement : les observations sans date précise peuvent être enregistrées à la date du 01/01. La fréquence des observations au mois de janvier ne reflète donc pas nécessairement la réalité.
Sources des données du taxon
Avertissement : Les producteurs (personne en charge de la plateforme) et les fournisseurs (personne ou organisme ayant récupéré les données et les ayant transmises au SINP) de données, affichés dans les graphiques ci-dessus, sont issus des métadonnées transmises lors du versement des données sur la plateforme.