Théridion royal
Kochiura aulica (C.L. Koch, 1838)
- 10 observations
-
4
communes -
6
observateurs -
3
organismes -
Première observation
1988 -
Dernière observation
2020
Avertissement : Seuls les producteurs et les fournisseurs du jeu de données, renseignés dans les métadonnées, sont affichés dans la liste ci-dessous. Ces derniers auront, pour un même jeu de données, une part d'aide à la prospection égale. Par conséquent, les pourcentages affichés ne sont pas cumulables entre eux.
-
Parc Naturel Régional des Boucles de la Seine Normande
Participation à 6 Observations
Part d'aide à la prospection : 60.00 %
Fiche organisme
-
Inventaire National du Patrimoine Naturel
Participation à 2 Observations
Part d'aide à la prospection : 20.00 %
Fiche organisme
-
Parc Naturel Régional et géoparc mondial UNESCO Normandie-Maine
Participation à 1 Observation
Part d'aide à la prospection : 10.00 %
Fiche organisme
Informations espèce
Europe excepté au Nord, Bassin méditerranéen
Caractères distinctifs, espèces :
Taille - femelle : 3-5 mm, mâle : 2-4 mm.
Cette petite espèce présente une couleur assez typique avec un céphalothorax clair finement bordé de noir, à bande médiane noire, poursuivie sur l’abdomen par une bande médiane sombre, aux bords dentelés, bien nette à l’avant, s’atténuant souvent dès le milieu de l’abdomen. Ses pattes sont claires, annelées de noir. Il n’y a qu’une seule espèce dans le genre Kochiura et deux espèces dans le genre proche Anelosimus. Les détails de la coloration et les pièces génitales permettent de distinguer ces trois espèces.
Milieux colonisés :
L’espèce colonise la végétation basse et arbustive des prairies, jardins, landes (ajoncs, bruyères), garrigues (cistes, bruyères), maquis, plus rarement sur les branches basses des arbres.
Chasse :
Ce Théridion tisse des fils qui paraissent éparses sur les extrémités de rameaux de divers végétaux robustes. L’araignée se tient au milieu de cet enchevêtrement, dans un repaire aménagé. Les proies sont interceptées par les fils externes qui sont partiellement collants et l’araignée, avertie par le réseau de fils, intervient rapidement pour mordre sa victime. Les proies sont souvent des insectes assez coriacés (coléoptères, fourmis). On voit leurs dépouilles accumulées près de la retraite.
Développement, cycle :
Les mâles sont présents en juin et juillet, les femelles de juin à septembre. Le cycle est généralement annuel en France, mais il y aurait deux cycles par an dans le Sud de la France (juillet à avril et mai à juillet).
La femelle pond, dans sa toile, plusieurs cocons (jusqu’à 4 ou 5). Ils comprennent une vingtaine d’œufs et sont entourés de soie verdâtre, la taille de chacun excédant celle de la femelle.
Source : fiche descriptive, INPN
Répartition actuelle en France métropolitaine
Cartographie issue de l'INPN - Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes au niveau national : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives.
Observations mensuelles
Avertissement : les observations sans date précise peuvent être enregistrées à la date du 01/01. La fréquence des observations au mois de janvier ne reflète donc pas nécessairement la réalité.
Sources des données du taxon
Avertissement : Les producteurs (personne en charge de la plateforme) et les fournisseurs (personne ou organisme ayant récupéré les données et les ayant transmises au SINP) de données, affichés dans les graphiques ci-dessus, sont issus des métadonnées transmises lors du versement des données sur la plateforme.