Troilus luridus (Fabricius, 1775)
- 12 observations
-
10
communes -
11
observateurs -
4
organismes -
Première observation
1950 -
Dernière observation
2023
La Feuillie - Les Monts d'Andaine - Lyons-la-Forêt - Montfiquet - Ponts sur Seulles - Rouperroux - Saint-Céneri-le-Gérei - Saint-Patrice-du-Désert - Ticheville - Versainville
Avertissement : Seuls les producteurs et les fournisseurs du jeu de données, renseignés dans les métadonnées, sont affichés dans la liste ci-dessous. Ces derniers auront, pour un même jeu de données, une part d'aide à la prospection égale. Par conséquent, les pourcentages affichés ne sont pas cumulables entre eux.
-
Inventaire National du Patrimoine Naturel
Participation à 4 Observations
Part d'aide à la prospection : 33.33 %
Fiche organisme
-
Parc Naturel Régional et géoparc mondial UNESCO Normandie-Maine
Participation à 2 Observations
Part d'aide à la prospection : 16.67 %
Fiche organisme
-
Conseil Départemental de l'Orne
Participation à 2 Observations
Part d'aide à la prospection : 16.67 %
Fiche organisme
-
GRoupe d’ÉTude des Invertébrés Armoricains
Participation à 2 Observations
Part d'aide à la prospection : 16.67 %
Fiche organisme
Informations espèce
Diagnose :
Punaise allongée de couleur brune-noirâtre, au scutellum triangulaire. Elle possède un rostre épais capable de se diriger vers l’avant de la tête car c’est une espèce prédatrice d’insectes. Cela se traduit par une tête relativement plus large et des joues (jugas) larges dépassant le nez (clypéus) vers l’avant. Antennes noires sauf l’article IV avec au moins le tiers apical clair. Angles huméraux du pronotum arrondis, avec parfois des reflets verts, et légèrement saillants dépassant les bords du corps. Bords antérieurs du pronotum denticulés. Fémurs avant sans épine. Bords de l’abdomen (connexivum) nettement bicolore et contrasté.
Détermination : Simple.
Espèces proches :
Elle ressemble à d’autres espèces de punaises des genres Carpocoris, Halyomorpha ou Rhaphigaster, mais la forme des angles huméraux du pronotum, et surtout la coloration des antennes avec un seul spot blanc, permettent de ne pas la confondre avec ces espèces.
Période d’observation :
Toute l’année mais principalement d’avril à septembre avec un pic en août.
Biologie-éthologie :
Elle vit sur des arbres : chênes, hêtres, charmes, bouleaux, aulnes, saules, prunelliers, pins, mélèzes, et dans les buissons et mousses proches. C'est un prédateur relativement timide de petits insectes à déplacement lent et cuticule molle : petites chenilles même velues, petits insectes divers, même morts.
Biogéographie et écologie :
Espèce eurosibérienne, présente en Grande-Bretagne et en Scandinavie jusqu'à 61° de latitude nord. On la trouve à l’est jusqu'en Chine, en Corée, mais aussi en Inde et en Birmanie. Dans les forêts fraîches sur terrains acides, landes humides engorgées et pauvres en azote, tourbières. L'espèce est relativement rare au sein de son aire.
Source : fiche descriptive, INPN
Répartition actuelle en France métropolitaine
Cartographie issue de l'INPN - Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes au niveau national : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives.
Observations mensuelles
Avertissement : les observations sans date précise peuvent être enregistrées à la date du 01/01. La fréquence des observations au mois de janvier ne reflète donc pas nécessairement la réalité.
Sources des données du taxon
Avertissement : Les producteurs (personne en charge de la plateforme) et les fournisseurs (personne ou organisme ayant récupéré les données et les ayant transmises au SINP) de données, affichés dans les graphiques ci-dessus, sont issus des métadonnées transmises lors du versement des données sur la plateforme.