Palomena viridissima (Poda, 1761)
- 7 observations
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6
communes -
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observateurs -
5
organismes -
Première observation
2007 -
Dernière observation
2023
Avertissement : Seuls les producteurs et les fournisseurs du jeu de données, renseignés dans les métadonnées, sont affichés dans la liste ci-dessous. Ces derniers auront, pour un même jeu de données, une part d'aide à la prospection égale. Par conséquent, les pourcentages affichés ne sont pas cumulables entre eux.
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GRoupe d’ÉTude des Invertébrés Armoricains
Participation à 4 Observations
Part d'aide à la prospection : 57.14 %
Fiche organisme
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Parc Naturel Régional et géoparc mondial UNESCO Normandie-Maine
Participation à 3 Observations
Part d'aide à la prospection : 42.86 %
Fiche organisme
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Conseil Départemental de l'Orne
Participation à 2 Observations
Part d'aide à la prospection : 28.57 %
Fiche organisme
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Inventaire National du Patrimoine Naturel
Participation à 2 Observations
Part d'aide à la prospection : 28.57 %
Fiche organisme
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CPIE Collines Normandes
Participation à 1 Observation
Part d'aide à la prospection : 14.29 %
Fiche organisme
Informations espèce
Diagnose :
Grande punaise entièrement verte sur sa face dorsale. Partie membraneuse des ailes sombre. Articles antennaires IV et V rougeâtres et article II 1,5 à 1,8 fois plus long que l’article III. Bords antéro-latéraux du pronotum légèrement convexes, et jamais soulignés d’un trait de couleur.
Détermination : Moyennement difficile.
Espèces proches :
Facile à distinguer des punaises vertes à extrémité du scutellum blanche ou jaune ou les membranes des ailes transparentes, et de Nezara viridula qui a 3 petites taches blanches sur le bord antérieur du scutellum. Très proche de Palomena prasina, mais le bord antéro-latéral de son pronotum est très convexe et homochrome, alors qu’il est un peu concave et souvent contrasté par un trait de couleur chez P. prasina. Aussi, l’article antennaire III est plus court que le II chez P. viridissima.
Période d’observation :
En mai et en août-septembre.
Biologie-éthologie :
Probablement polyphage car observée sur saules, chênes, genévriers, troènes ou ronces. Comme P. prasina, cette espèce change de coloration au cours des saisons : vert olive au printemps et en été, elle devient brun-rougeâtre en automne, et marron clair en hiver.
Biogéographie et écologie :
Espèce eurosibérienne, répandue jusqu’en Corée et en Inde. Absente de Grande-Bretagne, on la trouve au nord jusqu'à 59° de latitude nord. Absente des régions méditerranéennes, elle atteint 600 m d’altitude, et se rencontre dans les landes herbeuses en bordure forestière, aussi bien sèches et sablonneuses qu’humides ou en tourbières. C’est une espèce rare trouvée parfois avec P. prasina qui est plus commune. Elle se tient plutôt sur la végétation herbacée, et elle est moins fréquente sur les arbres à feuilles caduques que P. prasina.
Source : fiche descriptive, INPN
Répartition actuelle en France métropolitaine
Cartographie issue de l'INPN - Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes au niveau national : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives.
Observations mensuelles
Avertissement : les observations sans date précise peuvent être enregistrées à la date du 01/01. La fréquence des observations au mois de janvier ne reflète donc pas nécessairement la réalité.
Sources des données du taxon
Avertissement : Les producteurs (personne en charge de la plateforme) et les fournisseurs (personne ou organisme ayant récupéré les données et les ayant transmises au SINP) de données, affichés dans les graphiques ci-dessus, sont issus des métadonnées transmises lors du versement des données sur la plateforme.