Aiguille noire
Oberea linearis (Linnaeus, 1758)
- 14 observations
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11
communes -
5
observateurs -
7
organismes -
Première observation
1905 -
Dernière observation
2022
Arnières-sur-Iton - Cailly-sur-Eure - Évreux - Glisolles - Laleu - Le Boulay-Morin - Les Baux-Sainte-Croix - Muzy - Petit-Caux - Rives-en-Seine - Saint-Germain-des-Angles
Avertissement : Seuls les producteurs et les fournisseurs du jeu de données, renseignés dans les métadonnées, sont affichés dans la liste ci-dessous. Ces derniers auront, pour un même jeu de données, une part d'aide à la prospection égale. Par conséquent, les pourcentages affichés ne sont pas cumulables entre eux.
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Association Entomologiste et Invertébriste de Haute-Normandie
Participation à 9 Observations
Part d'aide à la prospection : 64.29 %
Fiche organisme
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Collectif de bénévoles du projet COPRIS
Participation à 9 Observations
Part d'aide à la prospection : 64.29 %
Fiche organisme
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Collectif de bénévoles du projet CERCION
Participation à 9 Observations
Part d'aide à la prospection : 64.29 %
Fiche organisme
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Inventaire National du Patrimoine Naturel
Participation à 2 Observations
Part d'aide à la prospection : 14.29 %
Fiche organisme
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Parc Naturel Régional et géoparc mondial UNESCO Normandie-Maine
Participation à 1 Observation
Part d'aide à la prospection : 7.14 %
Fiche organisme
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GRoupe d’ÉTude des Invertébrés Armoricains
Participation à 1 Observation
Part d'aide à la prospection : 7.14 %
Fiche organisme
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Département de Seine-Maritime
Participation à 1 Observation
Part d'aide à la prospection : 7.14 %
Fiche organisme
Informations espèce
Diagnose :
Longicorne très allongé, entièrement noir, sauf les palpes et les pattes jaunes. Pronotum transverse, fortement et densément ponctué, déprimé. Les élytres, à l’apex obliquement tronqué, longs et parallèles à ponctuation disposée en ligne, effacée à l’apex.
Détermination :
assez simple.
Espèces proches :
Elle se distingue des autres Oberea par son pronotum et ses élytres noirs.
Période d’observation :
Les adultes sont actifs de mai à août.
Biologie-éthologie :
La larve se développe surtout dans les branches de noisetier vivant, plus rarement dans le noyer, le saule, l’aulne, le charme et l’orme. L’adulte est diurne et s’observe au revers des feuilles de noisetier. Le cycle biologique dure un an.
Biogéographie et écologie :
Espèce répandue dans toute l’Europe jusqu’au Moyen-Orient et au Caucase. En France, elle occupe la majorité du territoire, mais semble absente de Corse. Son habitat est constitué de taillis, lisières et jardins.
D’après :
- Berger, P. 2012. Coléoptères Cerambycidae de la faune de France continentale et de Corse - Actualisation de l'ouvrage d'André Villiers, 1978. Revue de l’Association Roussillonnaise d’Entomologie, supplément tome XXI, 664 p.
- Touroult, J., Cima, V., Bouyon, H., Hanot, C., Horellou, A., Brustel, H., 2019 – Longicornes de France Atlas préliminaire (Coleoptera : Cerambycidae & Vesperidae). Supplément au bulletin d’ACOREP – France, Paris. 176 p.
Source : fiche descriptive, INPN
Répartition actuelle en France métropolitaine
Cartographie issue de l'INPN - Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes au niveau national : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives.
Observations mensuelles
Avertissement : les observations sans date précise peuvent être enregistrées à la date du 01/01. La fréquence des observations au mois de janvier ne reflète donc pas nécessairement la réalité.
Sources des données du taxon
Avertissement : Les producteurs (personne en charge de la plateforme) et les fournisseurs (personne ou organisme ayant récupéré les données et les ayant transmises au SINP) de données, affichés dans les graphiques ci-dessus, sont issus des métadonnées transmises lors du versement des données sur la plateforme.