Gomphe à forceps septentrional (Le)
Onychogomphus forcipatus forcipatus (Linnaeus, 1758)
- 19 observations
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6
communes -
4
observateurs -
4
organismes -
Première observation
1988 -
Dernière observation
2021
Avertissement : Seuls les producteurs et les fournisseurs du jeu de données, renseignés dans les métadonnées, sont affichés dans la liste ci-dessous. Ces derniers auront, pour un même jeu de données, une part d'aide à la prospection égale. Par conséquent, les pourcentages affichés ne sont pas cumulables entre eux.
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Parc Naturel Régional et géoparc mondial UNESCO Normandie-Maine
Participation à 19 Observations
Part d'aide à la prospection : 100.00 %
Fiche organisme
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GRoupe d’ÉTude des Invertébrés Armoricains
Participation à 16 Observations
Part d'aide à la prospection : 84.21 %
Fiche organisme
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CPIE Collines Normandes
Participation à 1 Observation
Part d'aide à la prospection : 5.26 %
Fiche organisme
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Conseil Départemental de l'Orne
Participation à 1 Observation
Part d'aide à la prospection : 5.26 %
Fiche organisme
Informations espèce
Abdomen mâle : 31-40 mm ; femelle : 31-39 mm. Ailes postérieures mâle : 25-32 mm ; femelle : 27-35 mm.
Diagnose :
Chez cette libellule le corps et la face sont jaunes et noirs. Les yeux, bleus ou verts, sont nettement séparés. Le mâle porte des appendices anaux en forme de pince au bout de l’abdomen. La lame inférieure de l’appendice se termine par une dent fortement courbée.
Détermination :
Moyennement difficile.
Espèces proches :
Confusion possible avec la sous-espèce Onychogomphus f. unguiculatus. Chez le mâle, la courbure de l’apex de la lame supra-anale est caractéristique.
Période d’observation :
Les adultes sont observés de mai à septembre dans le sud, de juin à août dans le nord.
Biologie et écologie :
Cette espèce typique des cours d’eau se reproduit également dans les eaux stagnantes bien oxygénées (lacs, gravières ou bras morts). La phase larvaire dure entre 2 ans en méditerranée et 4-5 ans dans le nord de l’Europe. Les émergences ont généralement lieu en position horizontale au niveau de la berge ou sur des éléments qui sortent de l’eau (pierres, feuilles flottantes). Quand il fait très chaud, la larve émerge avec le corps à moitié dans l’eau.
Biogéographie :
La sous-espèce Onychogomphus f. forcipatus s’étend de l’ouest de l’Europe et à la Sibérie. Elle est absente de la péninsule ibérique et d’une grande partie de l’Italie (hors Sicile). Dans le sud de son aire de répartition elle s’observe jusqu’à 1200 m d’altitude.
D’après :
Grand, D., Boudot, J.-P & Doucet, G. 2014. Cahier d’identification des Libellules de France, Belgique, Luxembourg et Suisse. Collection Cahier d’identification. Biotope, Mèze : 136 pp.
Grand, D. & Boudot, J.-P. 2006. Les Libellules de France, Belgique et Luxembourg. Collection Parthénope. Biotope, Mèze : 480 pp.
Dijkstra, K.-D. B. 2007. Guide des libellules de France et d'Europe. Les guides du naturaliste. Delachaux & Niestlé, Paris : 320 pp.
Source : fiche descriptive, INPN
Répartition actuelle en France métropolitaine
Cartographie issue de l'INPN - Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes au niveau national : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives.
Observations mensuelles
Avertissement : les observations sans date précise peuvent être enregistrées à la date du 01/01. La fréquence des observations au mois de janvier ne reflète donc pas nécessairement la réalité.
Sources des données du taxon
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