Pogonocherus decoratus Fairmaire, 1855
- 4 observations
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4
communes -
3
observateurs -
5
organismes -
Première observation
1950 -
Dernière observation
2020
Avertissement : Seuls les producteurs et les fournisseurs du jeu de données, renseignés dans les métadonnées, sont affichés dans la liste ci-dessous. Ces derniers auront, pour un même jeu de données, une part d'aide à la prospection égale. Par conséquent, les pourcentages affichés ne sont pas cumulables entre eux.
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Collectif de bénévoles du projet COPRIS
Participation à 2 Observations
Part d'aide à la prospection : 50.00 %
Fiche organisme
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Collectif de bénévoles du projet CERCION
Participation à 2 Observations
Part d'aide à la prospection : 50.00 %
Fiche organisme
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Association Entomologiste et Invertébriste de Haute-Normandie
Participation à 2 Observations
Part d'aide à la prospection : 50.00 %
Fiche organisme
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Parc Naturel Régional du Perche
Participation à 1 Observation
Part d'aide à la prospection : 25.00 %
Fiche organisme
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Inventaire National du Patrimoine Naturel
Participation à 1 Observation
Part d'aide à la prospection : 25.00 %
Fiche organisme
Informations espèce
Diagnose :
Petit longicorne à téguments rouge-brun, revêtu d’une pilosité blonde et blanchâtre. Les élytres, subparallèles en avant, sont nettement rétrécis en arrière, arrondis à l’apex, ornés d’une bande blanchâtre très oblique irrégulière. Chacun d’eux portent deux carènes longitudinales nettement soulignées par un liseré de poils blanchâtres. Antennes brunes dépassant les élytres.
Détermination :
délicate.
Espèces proches :
Elle se distingue des autres Pogonocherus, en particulier de P. fasciculatus par la base des élytres présentant une large bande claire oblique n’atteignant pas la bordure externe et une suture rembrunie ainsi que par l’absence de deux touffes de poils noirs entre les yeux.
Période d’observation :
Les adultes sont actifs de juin à septembre.
Biologie-éthologie :
La larve se développe préférentiellement dans les branches et branchettes mortes de pin mais elle a été signalée du sapin, de l’épicéa et occasionnellement du noisetier. Le cycle biologique est de deux ans.
Biogéographie et écologie :
Espèce répandue dans toute l’Europe jusqu’à l’Oural, plus rare en Europe méridionale. En France, elle se rencontre surtout sur la moitié Est en forêts résineuses en montagne et de plantations en plaine.
D’après :
- Berger, P. 2012. Coléoptères Cerambycidae de la faune de France continentale et de Corse - Actualisation de l'ouvrage d'André Villiers, 1978. Revue de l’Association Roussillonnaise d’Entomologie, supplément tome XXI, 664 p.
- Touroult, J., Cima, V., Bouyon, H., Hanot, C., Horellou, A., Brustel, H., 2019 – Longicornes de France Atlas préliminaire (Coleoptera : Cerambycidae & Vesperidae). Supplément au bulletin d’ACOREP – France, Paris. 176 p.
Source : fiche descriptive, INPN
Répartition actuelle en France métropolitaine
Cartographie issue de l'INPN - Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes au niveau national : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives.
Observations mensuelles
Avertissement : les observations sans date précise peuvent être enregistrées à la date du 01/01. La fréquence des observations au mois de janvier ne reflète donc pas nécessairement la réalité.
Sources des données du taxon
Avertissement : Les producteurs (personne en charge de la plateforme) et les fournisseurs (personne ou organisme ayant récupéré les données et les ayant transmises au SINP) de données, affichés dans les graphiques ci-dessus, sont issus des métadonnées transmises lors du versement des données sur la plateforme.