Érigone périscope
Walckenaeria acuminata Blackwall, 1833
- 11 observations
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7
communes -
10
observateurs -
5
organismes -
Première observation
1899 -
Dernière observation
2016
Anneville-Ambourville - La Lande-de-Goult - Le Bouillon - Lonlay-l'Abbaye - Lyons-la-Forêt - Montfiquet - Saint-Patrice-du-Désert
Avertissement : Seuls les producteurs et les fournisseurs du jeu de données, renseignés dans les métadonnées, sont affichés dans la liste ci-dessous. Ces derniers auront, pour un même jeu de données, une part d'aide à la prospection égale. Par conséquent, les pourcentages affichés ne sont pas cumulables entre eux.
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Parc Naturel Régional des Boucles de la Seine Normande
Participation à 3 Observations
Part d'aide à la prospection : 27.27 %
Fiche organisme
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Conseil Départemental de l'Orne
Participation à 3 Observations
Part d'aide à la prospection : 27.27 %
Fiche organisme
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Inventaire National du Patrimoine Naturel
Participation à 3 Observations
Part d'aide à la prospection : 27.27 %
Fiche organisme
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Parc Naturel Régional et géoparc mondial UNESCO Normandie-Maine
Participation à 2 Observations
Part d'aide à la prospection : 18.18 %
Fiche organisme
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Bureaux d'études & consultants (hériter PNRNM)
Participation à 1 Observation
Part d'aide à la prospection : 9.09 %
Fiche organisme
Informations espèce
Partie occidentale de l’Europe
Caractères distinctifs, espèces :
Taille - femelle : 3-5 mm, mâle : 2-4 mm.
L’araignée possède des pattes rougeâtres, un céphalothorax brun-rouge et un abdomen noir. Le mâle est distinguable par la présence d’un très long prolongement supérieur du céphalothorax qui porte les yeux : les antérieurs à l’extrémité du périscope, les postérieurs vers le milieu. La femelle n’est identifiable qu’après l’observation des pièces génitales. Il y a presque une trentaine d’espèces répertoriées en France dans le genre Walckenaeria .
Milieux colonisés :
L’espèce est présente au sol dans des habitats variés : pelouses, landes, forêts, plutôt en milieux de végétation dense et d’humidité moyenne ou forte.
Chasse :
L’espèce tisse une toile en nappe, au ras du sol. Les proies sont de petites tailles : des collemboles, des diptères.
Développement, cycle :
Les femelles sont présentes à toutes les saisons, les mâles manquent de mai à août. Le cycle est annuel. Il existe un organe de stridulation sur les bords des chélicères qui doit jouer un rôle dans le rapprochement des sexes. Lors de l’accouplement, le mâle se trouve sous la femelle qui saisit le périscope. L’extrémité de cette protubérance porte des soies très particulières, trifides, et les orifices de glandes. Il paraît évident que les sécrétions émises jouent un rôle au moment de l’accouplement, mais leur rôle exact est encore inconnu. La femelle pond un cocon blanc, plat, sous des pierres ou des morceaux d’écorce.
Source : fiche descriptive, INPN
Répartition actuelle en France métropolitaine
Cartographie issue de l'INPN - Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes au niveau national : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives.
Observations mensuelles
Avertissement : les observations sans date précise peuvent être enregistrées à la date du 01/01. La fréquence des observations au mois de janvier ne reflète donc pas nécessairement la réalité.
Sources des données du taxon
Avertissement : Les producteurs (personne en charge de la plateforme) et les fournisseurs (personne ou organisme ayant récupéré les données et les ayant transmises au SINP) de données, affichés dans les graphiques ci-dessus, sont issus des métadonnées transmises lors du versement des données sur la plateforme.