Punaise verte bleuâtre
Zicrona caerulea (Linnaeus, 1758)
- 13 observations
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11
communes -
12
observateurs -
4
organismes -
Première observation
2002 -
Dernière observation
2024
Anneville-Ambourville - Feings - Isigny-le-Buat - Lonlay-l'Abbaye - Marais-Vernier - Moulins-la-Marche - Pont-Authou - Puchay - Putanges-le-Lac - Rouperroux - Saint-Cyr-du-Bailleul
Avertissement : Seuls les producteurs et les fournisseurs du jeu de données, renseignés dans les métadonnées, sont affichés dans la liste ci-dessous. Ces derniers auront, pour un même jeu de données, une part d'aide à la prospection égale. Par conséquent, les pourcentages affichés ne sont pas cumulables entre eux.
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Inventaire National du Patrimoine Naturel
Participation à 5 Observations
Part d'aide à la prospection : 38.46 %
Fiche organisme
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Parc Naturel Régional et géoparc mondial UNESCO Normandie-Maine
Participation à 3 Observations
Part d'aide à la prospection : 23.08 %
Fiche organisme
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Habitants-bénévoles (PNRNM)
Participation à 1 Observation
Part d'aide à la prospection : 7.69 %
Fiche organisme
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Parc Naturel Régional des Boucles de la Seine Normande
Participation à 1 Observation
Part d'aide à la prospection : 7.69 %
Fiche organisme
Informations espèce
Diagnose :
Petite punaise entièrement de couleur vert métallisé. Angles huméraux du pronotum non saillants, et ses bords latéraux antérieurs lisses. Elle possède un rostre épais capable de se diriger vers l’avant de la tête car c’est une espèce prédatrice d’insectes. Cela se traduit par une tête relativement plus large et des joues (jugas) larges dépassant le nez (clypéus) vers l’avant. Fémurs avant sans dent sur leur face inférieure.
Détermination : Simple.
Espèces proches :
Elle ressemble à des espèces de couleur vert métallisé du genre Canthophorus, mais celles-ci ont des épines sur les pattes, pas Zicrona. L’espèce Eurydema cyanea lui ressemble aussi, mais elle ne possède pas de rostre épais.
Période d’observation :
Toute l’année mais principalement d’avril à octobre avec un pic en juillet.
Biologie-éthologie :
Elle vit sur les arbustes et plantes herbacées. C’est un prédateur d'adultes et de larves de coléoptères phytophages comme les altises et les chrysomèles, et parfois de petites chenilles de lépidoptères. Elle peut se nourrir sur des plantes comme l'épilobe en épi en l’absence de proies.
Biogéographie et écologie :
Espèce répandue sur tout le domaine Paléarctique, au nord jusqu'au cercle polaire (67° de latitude nord), à l’est jusqu’en Sibérie, Chine et Japon, et au sud en Afrique du Nord, Moyen-Orient, Inde, Indonésie et Malaisie. Elle est aussi présente en Amérique du Nord. Elle vit dans les milieux frais et humides, ouverts ou faiblement boisés : bords des ruisseaux, prairies humides marécageuses, landes. Dans le nord, elle affectionne les coteaux calcaires et les landes sèches. Parfois rencontrée en arrière-dune littorale. Cette espèce est commune et sa fréquence dépend des ressources alimentaires disponibles.
Source : fiche descriptive, INPN
Répartition actuelle en France métropolitaine
Cartographie issue de l'INPN - Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes au niveau national : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives.
Observations mensuelles
Avertissement : les observations sans date précise peuvent être enregistrées à la date du 01/01. La fréquence des observations au mois de janvier ne reflète donc pas nécessairement la réalité.
Sources des données du taxon
Avertissement : Les producteurs (personne en charge de la plateforme) et les fournisseurs (personne ou organisme ayant récupéré les données et les ayant transmises au SINP) de données, affichés dans les graphiques ci-dessus, sont issus des métadonnées transmises lors du versement des données sur la plateforme.