Lamie tisserand
Lamia textor (Linnaeus, 1758)
- 23 observations
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16
communes -
10
observateurs -
6
organismes -
Première observation
1905 -
Dernière observation
2021
Bellengreville - Buchy - Condé-sur-Risle - Évreux - Grainville-Ymauville - Gravigny - Houppeville - La Lande-de-Goult - Louviers - Moult-Chicheboville - Notre-Dame-de-Bondeville - Ponts-et-Marais - Romilly-sur-Andelle - Rouen - Rugles - Saussey
Avertissement : Seuls les producteurs et les fournisseurs du jeu de données, renseignés dans les métadonnées, sont affichés dans la liste ci-dessous. Ces derniers auront, pour un même jeu de données, une part d'aide à la prospection égale. Par conséquent, les pourcentages affichés ne sont pas cumulables entre eux.
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Collectif de bénévoles du projet COPRIS
Participation à 9 Observations
Part d'aide à la prospection : 39.13 %
Fiche organisme
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Collectif de bénévoles du projet CERCION
Participation à 9 Observations
Part d'aide à la prospection : 39.13 %
Fiche organisme
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Association Entomologiste et Invertébriste de Haute-Normandie
Participation à 9 Observations
Part d'aide à la prospection : 39.13 %
Fiche organisme
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Conseil Départemental de l'Orne
Participation à 1 Observation
Part d'aide à la prospection : 4.35 %
Fiche organisme
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Inventaire National du Patrimoine Naturel
Participation à 1 Observation
Part d'aide à la prospection : 4.35 %
Fiche organisme
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Bureaux d'études & consultants (hériter PNRNM)
Participation à 1 Observation
Part d'aide à la prospection : 4.35 %
Fiche organisme
Informations espèce
Diagnose :
Capricorne au corps noir mat d’aspect arrondi et compact, à pattes robustes, couvert d’un léger duvet gris ou roussâtre et de quelques macules jaunâtres plus étendue et inégalement réparties. Les antennes ne dépassent pas la longueur du corps.
Détermination :
délicate.
Espèces proches :
Morimus asper (Linnaeus, 1758), dont il se distingue par des antennes toujours moins longues que le corps chez les deux sexes et par la forme plus parallèle des élytres.
Période d’observation :
Les adultes apparaissent de mai à juillet.
Biologie-éthologie :
La larve se développe dans les souches et le bois encore vivant des arbres dépérissant de saules, peupliers, bouleaux et aulnes. Le cycle biologique est de 2 à 3 ans. Cette espèce est ailée mais vole très rarement, on la trouve généralement marchant au sol dans la journée.
Biogéographie et écologie :
Espèce largement répandue sur toute la zone paléarctique. En France, elle se rencontre sur tout le territoire sauf en Corse. Son habitat est constitué de ripisylves, de zones humides ou marécageuses. Elle paraît en régression, tout comme les zones humides.
D’après :
- Berger, P. 2012. Coléoptères Cerambycidae de la faune de France continentale et de Corse - Actualisation de l'ouvrage d'André Villiers, 1978. Revue de l’Association Roussillonnaise d’Entomologie, supplément tome XXI, 664 p.
- Touroult, J., Cima, V., Bouyon, H., Hanot, C., Horellou, A., Brustel, H., 2019 – Longicornes de France Atlas préliminaire (Coleoptera : Cerambycidae & Vesperidae). Supplément au bulletin d’ACOREP – France, Paris. 176 p.
Source : fiche descriptive, INPN
Répartition actuelle en France métropolitaine
Cartographie issue de l'INPN - Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes au niveau national : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives.
Observations mensuelles
Avertissement : les observations sans date précise peuvent être enregistrées à la date du 01/01. La fréquence des observations au mois de janvier ne reflète donc pas nécessairement la réalité.
Sources des données du taxon
Avertissement : Les producteurs (personne en charge de la plateforme) et les fournisseurs (personne ou organisme ayant récupéré les données et les ayant transmises au SINP) de données, affichés dans les graphiques ci-dessus, sont issus des métadonnées transmises lors du versement des données sur la plateforme.