Magistrat
Acanthocinus aedilis (Linnaeus, 1758)
- 15 observations
-
13
communes -
4
observateurs -
4
organismes -
Première observation
1905 -
Dernière observation
2020
Angerville-la-Campagne - Canteleu - Déville-lès-Rouen - Elbeuf - Évreux - Giverny - Grand-Couronne - La Vacherie - Le Petit-Quevilly - Les Andelys - Rouen - Valailles - Versainville
Avertissement : Seuls les producteurs et les fournisseurs du jeu de données, renseignés dans les métadonnées, sont affichés dans la liste ci-dessous. Ces derniers auront, pour un même jeu de données, une part d'aide à la prospection égale. Par conséquent, les pourcentages affichés ne sont pas cumulables entre eux.
-
Collectif de bénévoles du projet COPRIS
Participation à 12 Observations
Part d'aide à la prospection : 80.00 %
Fiche organisme
-
Collectif de bénévoles du projet CERCION
Participation à 12 Observations
Part d'aide à la prospection : 80.00 %
Fiche organisme
-
Association Entomologiste et Invertébriste de Haute-Normandie
Participation à 12 Observations
Part d'aide à la prospection : 80.00 %
Fiche organisme
-
Inventaire National du Patrimoine Naturel
Participation à 1 Observation
Part d'aide à la prospection : 6.67 %
Fiche organisme
Informations espèce
Diagnose :
Capricorne à stature large, les élytres sans côtes saillantes marquées, larges, déprimés, sont couverts d’une pubescence gris clair, barrés transversalement de deux bandes concaves, irrégulières, brun rougeâtre. Les antennes extrêmement longues chez le mâle (jusqu’à 5 fois la longueur du corps) sont recouvertes d’un duvet gris rosé et brun rougeâtre.
Détermination :
assez simple.
Espèces proches :
Elle se distingue des autres Acanthocinus par le premier article des tarses postérieurs est aussi long ou à peine plus long que les deux suivants ensemble, et sa stature plus large
Période d’observation :
Les adultes sont actifs d’avril à juillet.
Biologie-éthologie :
La larve se développe dans les branches et les troncs fraichement morts de conifères, surtout sur les pins. L’adulte est crépusculaire et s’observe sur les troncs morts. Le cycle biologique s’effectue en deux ans.
Biogéographie et écologie :
Espèce à vaste répartition eurasiatique. En France, elle est présente dans les forêts résineuses de montagnes, mais aussi dans les pinèdes de plaine.
D’après :
- Berger, P. 2012. Coléoptères Cerambycidae de la faune de France continentale et de Corse - Actualisation de l'ouvrage d'André Villiers, 1978. Revue de l’Association Roussillonnaise d’Entomologie, supplément tome XXI, 664 p.
- Touroult, J., Cima, V., Bouyon, H., Hanot, C., Horellou, A., Brustel, H., 2019 – Longicornes de France Atlas préliminaire (Coleoptera : Cerambycidae & Vesperidae). Supplément au bulletin d’ACOREP – France, Paris. 176 p.
Source : fiche descriptive, INPN
Répartition actuelle en France métropolitaine
Cartographie issue de l'INPN - Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes au niveau national : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives.
Observations mensuelles
Avertissement : les observations sans date précise peuvent être enregistrées à la date du 01/01. La fréquence des observations au mois de janvier ne reflète donc pas nécessairement la réalité.
Sources des données du taxon
Avertissement : Les producteurs (personne en charge de la plateforme) et les fournisseurs (personne ou organisme ayant récupéré les données et les ayant transmises au SINP) de données, affichés dans les graphiques ci-dessus, sont issus des métadonnées transmises lors du versement des données sur la plateforme.