- 25 observations
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13
communes -
19
observateurs -
5
organismes -
Première observation
1988 -
Dernière observation
2024
Anneville-Ambourville - Barneville-Carteret - Feings - Le Havre - Les Moitiers-d'Allonne - Lonlay-l'Abbaye - Maisons - Pacy-sur-Eure - Paluel - Petit-Caux - Saint-Clément-Rancoudray - Sainte-Opportune-la-Mare - Versainville
Avertissement : Seuls les producteurs et les fournisseurs du jeu de données, renseignés dans les métadonnées, sont affichés dans la liste ci-dessous. Ces derniers auront, pour un même jeu de données, une part d'aide à la prospection égale. Par conséquent, les pourcentages affichés ne sont pas cumulables entre eux.
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Inventaire National du Patrimoine Naturel
Participation à 6 Observations
Part d'aide à la prospection : 24.00 %
Fiche organisme
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Parc Naturel Régional et géoparc mondial UNESCO Normandie-Maine
Participation à 5 Observations
Part d'aide à la prospection : 20.00 %
Fiche organisme
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Parc Naturel Régional des Boucles de la Seine Normande
Participation à 5 Observations
Part d'aide à la prospection : 20.00 %
Fiche organisme
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Conseil Départemental de l'Orne
Participation à 2 Observations
Part d'aide à la prospection : 8.00 %
Fiche organisme
Informations espèce
Europe, excepté le Nord, Bassin méditerranéen, Asie du Nord
Caractères distinctifs, espèces :
Taille - femelle : 6-10 mm, mâle : 5-7 mm.
Chez ces Epeires, le dos de l’abdomen présente un dessin sinueux constitué de deux séries de larges taches blanches. Le céphalothorax est clair avec une bande médiane sombre et deux autres latérales. Il y a trois espèces en France dans le genre, les deux autres sont plutôt méridionales, les pièces génitales sont indispensables pour séparer N. adianta de N. byzanthina. On pourrait confondre l’espèce avec celles du genre Aculepeira, notamment A. ceropegia que l’on trouve aussi en plaine. Mais dans le genre Aculepeira les taches blanches abdominales sont réunies et la taille est supérieure.
Milieux colonisés :
Elle colonise des milieux ouverts, ensoleillés : prairies, landes, dunes. Sa toile est tissée dans la végétation basse.
Chasse :
Sa toile est assez petite, parfois avec un centre encombré de soie. Elle chasse le jour, souvent abritée dans une retraite en forme de dôme qu’elle tisse à proximité de la toile. Le piège est tissé assez près du sol, entre les touffes de végétation.
Développement, cycle :
Les mâles sont observés de mai à août, les femelles plus tardivement de juin à octobre. Le cycle est annuel.
Le cocon, très allongé, est suspendu par la femelle dans sa retraite. La ponte passe l'hiver et les jeunes ne sortent du cocon qu’en avril-mai, ce qui laisse présager une diapause embryonnaire.
Source : fiche descriptive, INPN
Répartition actuelle en France métropolitaine
Cartographie issue de l'INPN - Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes au niveau national : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives.
Observations mensuelles
Avertissement : les observations sans date précise peuvent être enregistrées à la date du 01/01. La fréquence des observations au mois de janvier ne reflète donc pas nécessairement la réalité.
Sources des données du taxon
Avertissement : Les producteurs (personne en charge de la plateforme) et les fournisseurs (personne ou organisme ayant récupéré les données et les ayant transmises au SINP) de données, affichés dans les graphiques ci-dessus, sont issus des métadonnées transmises lors du versement des données sur la plateforme.