Cétoine dorée (la)
Cetonia aurata aurata (Linnaeus, 1758)
- 11 observations
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9
communes -
9
observateurs -
4
organismes -
Première observation
1900 -
Dernière observation
2023
Belforêt-en-Perche - Caen - Canapville - Lion-sur-Mer - Longny les Villages - Lonlay-l'Abbaye - Perche en Nocé - Saint-Germain-des-Grois - Saint-Pierre-en-Auge
Avertissement : Seuls les producteurs et les fournisseurs du jeu de données, renseignés dans les métadonnées, sont affichés dans la liste ci-dessous. Ces derniers auront, pour un même jeu de données, une part d'aide à la prospection égale. Par conséquent, les pourcentages affichés ne sont pas cumulables entre eux.
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Parc Naturel Régional du Perche
Participation à 5 Observations
Part d'aide à la prospection : 45.45 %
Fiche organisme
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Conseil Départemental de l'Orne
Participation à 2 Observations
Part d'aide à la prospection : 18.18 %
Fiche organisme
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Inventaire National du Patrimoine Naturel
Participation à 2 Observations
Part d'aide à la prospection : 18.18 %
Fiche organisme
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Parc Naturel Régional et géoparc mondial UNESCO Normandie-Maine
Participation à 1 Observation
Part d'aide à la prospection : 9.09 %
Fiche organisme
Informations espèce
Diagnose :
Corps large, généralement vert métallique, avec des taches blanches formant plus ou moins des lignes dans la moitié apicale des élytres. Pronotum quasiment sans ponctuation dans la partie médiane. Saillie mésosternale globuleuse. Dessous pubescent. Le mâle présente une dépression longitudinale médiane nette sur l'abdomen. Nombreuses variétés de coloration du vert au rouge cuivreux.
Détermination : Simple.
Espèces proches :
Elle peut éventuellement être confondue avec des formes verdâtres de Protaetia cuprea bourgini ou avec Protaetia cuprea metallica, qui présentent cependant une stature plus allongée, une couleur bronze peu métallique et une saillie mésosternale aplatie.
Période d’observation :
De mars à octobre, plus commune de mai à juillet.
Biologie-éthologie :
Adultes diurnes et floricoles, en particuliers sur les fleurs blanches d'arbustes ; sur les fruits murs et les plaies des arbres (attirés par les pièges aériens). La larve se développe dans les accumulations de matière organique d'origine végétale : composts, les tas de feuilles ; dans le terreau et bois décomposé des cavités d'arbres feuillus ainsi qu'au contact entre le bois mort et le sol (espèce saproxylique facultative). Cycle larvaire d'environ une année, l'adulte émerge de sa coque en fin d'été, hiverne et peut être actif dès le début du printemps.
Biogéographie et écologie :
Très large répartition en Europe et Asie tempérée, avec de nombreuses sous-espèces. Espèce généraliste, présente dans quasiment tous les milieux : jardins urbains, forêts, bocages, garrigues etc. Commune à très commune partout en France.
Source : fiche descriptive, INPN
Répartition actuelle en France métropolitaine
Cartographie issue de l'INPN - Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes au niveau national : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives.
Observations mensuelles
Avertissement : les observations sans date précise peuvent être enregistrées à la date du 01/01. La fréquence des observations au mois de janvier ne reflète donc pas nécessairement la réalité.
Sources des données du taxon
Avertissement : Les producteurs (personne en charge de la plateforme) et les fournisseurs (personne ou organisme ayant récupéré les données et les ayant transmises au SINP) de données, affichés dans les graphiques ci-dessus, sont issus des métadonnées transmises lors du versement des données sur la plateforme.