Dyroderes umbraculatus (Fabricius, 1775)
- 20 observations
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15
communes -
11
observateurs -
3
organismes -
Première observation
2007 -
Dernière observation
2023
Canapville - Gandelain - Grand-Couronne - Harfleur - Heurteauville - La Haye-Malherbe - Les Ventes-de-Bourse - Le Tréport - Mantilly - Ménil-Hubert-sur-Orne - Merville-Franceville-Plage - Reviers - Sainte-Marie-du-Mont - Saint-Jean-de-la-Rivière - Saint-Vaast-d'Équiqueville
Avertissement : Seuls les producteurs et les fournisseurs du jeu de données, renseignés dans les métadonnées, sont affichés dans la liste ci-dessous. Ces derniers auront, pour un même jeu de données, une part d'aide à la prospection égale. Par conséquent, les pourcentages affichés ne sont pas cumulables entre eux.
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Inventaire National du Patrimoine Naturel
Participation à 9 Observations
Part d'aide à la prospection : 45.00 %
Fiche organisme
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Parc Naturel Régional et géoparc mondial UNESCO Normandie-Maine
Participation à 2 Observations
Part d'aide à la prospection : 10.00 %
Fiche organisme
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GRoupe d’ÉTude des Invertébrés Armoricains
Participation à 2 Observations
Part d'aide à la prospection : 10.00 %
Fiche organisme
Informations espèce
Diagnose :
Petite punaise arrondie avec les bords de la tête et du pronotum aplatis en lamelles, et non rebordés. Corps aplati dorso‐ventralement. Extrémité du scutellum et moitié antérieure des bords latéraux du pronotum blancs, contrastant fortement avec la couleur de fond marron. Bord antérieur du pronotum avec une petite dent près de chaque œil.
Détermination : Simple.
Espèces proches :
Pas de difficulté particulière pour l’identification de cette espèce qui a une morphologie caractéristique avec ses expansions convexes du pronotum en forme d'oreilles.
Période d’observation :
Mars à octobre, avec un pic en mai-juin.
Biologie-éthologie :
Elle se nourrit uniquement sur quelques espèces de gaillets, dont le gaillet gratteron, le caille-lait blanc en milieu semi-ombragé, et le caille-lait jaune en milieu ouvert. Elle se tient généralement sur les tiges et les feuilles proches des fruits de ses plantes-hôtes.
Biogéographie et écologie :
Espèce ouest-paléarctique, rencontrée jusqu'en Azerbaïdjan à l'est. Elle est absente de Scandinavie et signalée seulement depuis 2013 de Grande-Bretagne, mais elle est présente en Allemagne et en Ukraine, et ne semble donc pas dépasser 55° de latitude nord. Espèce thermophile avec une préférence pour les milieux humides, parfois légèrement ombragés : forêts en bordure de cours d'eau, lisières forestières et bords des haies, friches envahies de végétation, bois clairs. On la rencontre aussi dans des habitats plus secs comme les prairies méditerranéennes, au pied de buissons protégeant les gaillets dans leur développement. Commune dans les biotopes favorables, elle est plus fréquente dans les habitats semi-ombragés que dans les milieux ouverts.
Source : fiche descriptive, INPN
Répartition actuelle en France métropolitaine
Cartographie issue de l'INPN - Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes au niveau national : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives.
Observations mensuelles
Avertissement : les observations sans date précise peuvent être enregistrées à la date du 01/01. La fréquence des observations au mois de janvier ne reflète donc pas nécessairement la réalité.
Sources des données du taxon
Avertissement : Les producteurs (personne en charge de la plateforme) et les fournisseurs (personne ou organisme ayant récupéré les données et les ayant transmises au SINP) de données, affichés dans les graphiques ci-dessus, sont issus des métadonnées transmises lors du versement des données sur la plateforme.