Saperde postale
Saperda scalaris (Linnaeus, 1758)
- 23 observations
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18
communes -
9
observateurs -
5
organismes -
Première observation
1905 -
Dernière observation
2022
Ancourt - Arnières-sur-Iton - Athis-Val de Rouvre - Bonnefoi - Buchy - Conches-en-Ouche - Évreux - Forges-les-Eaux - Houppeville - La Vieux-Rue - Le Boulay-Morin - Le Petit-Quevilly - Les Ventes-de-Bourse - Longny les Villages - Montfiquet - Ponts-et-Marais - Rouen - Saint-Georges-du-Vièvre
Avertissement : Seuls les producteurs et les fournisseurs du jeu de données, renseignés dans les métadonnées, sont affichés dans la liste ci-dessous. Ces derniers auront, pour un même jeu de données, une part d'aide à la prospection égale. Par conséquent, les pourcentages affichés ne sont pas cumulables entre eux.
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Collectif de bénévoles du projet COPRIS
Participation à 14 Observations
Part d'aide à la prospection : 60.87 %
Fiche organisme
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Collectif de bénévoles du projet CERCION
Participation à 14 Observations
Part d'aide à la prospection : 60.87 %
Fiche organisme
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Association Entomologiste et Invertébriste de Haute-Normandie
Participation à 14 Observations
Part d'aide à la prospection : 60.87 %
Fiche organisme
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Inventaire National du Patrimoine Naturel
Participation à 4 Observations
Part d'aide à la prospection : 17.39 %
Fiche organisme
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Département de Seine-Maritime
Participation à 1 Observation
Part d'aide à la prospection : 4.35 %
Fiche organisme
Informations espèce
Diagnose :
Saperde à stature allongée, à corps noir recouvert de pubescence courte et raide jaune soufre, parfois blanc grisâtre. Les articles antennaires sont annelés de pubescence claire à la base, noire à l’apex. Les élytres noirs sont ornés d’une bande suturale jaune formant des dilatations transverses ainsi que des taches.
Détermination :
simple.
Espèces proches :
aucune, le motif élytral est caractéristique.
Période d’observation :
Les adultes sont actifs de fin mars à juillet.
Biologie-éthologie :
La larve très polyphage se développe dans les branches et troncs dépérissant ou morts de cerisier de préférence, mais aussi sur de nombreux feuillus, (arbres fruitiers, sorbier, peuplier, aulne, bouleau, saule, orme…) plus rarement sur résineux. L’adulte est diurne et s’observe sur les troncs morts et sur les feuillages. Le cycle larvaire dure un à deux ans, parfois trois.
Biogéographie et écologie :
Espèce typiquement paléarctique répandue jusqu’au Pacifique. En France, elle est assez commune partout. Son habitat est constitué de ripisylves, vergers et bois feuillus.
D’après :
- Berger, P. 2012. Coléoptères Cerambycidae de la faune de France continentale et de Corse - Actualisation de l'ouvrage d'André Villiers, 1978. Revue de l’Association Roussillonnaise d’Entomologie, supplément tome XXI, 664 p.
- Touroult, J., Cima, V., Bouyon, H., Hanot, C., Horellou, A., Brustel, H., 2019 – Longicornes de France Atlas préliminaire (Coleoptera : Cerambycidae & Vesperidae). Supplément au bulletin d’ACOREP – France, Paris. 176 p.
Source : fiche descriptive, INPN
Répartition actuelle en France métropolitaine
Cartographie issue de l'INPN - Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes au niveau national : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives.
Observations mensuelles
Avertissement : les observations sans date précise peuvent être enregistrées à la date du 01/01. La fréquence des observations au mois de janvier ne reflète donc pas nécessairement la réalité.
Sources des données du taxon
Avertissement : Les producteurs (personne en charge de la plateforme) et les fournisseurs (personne ou organisme ayant récupéré les données et les ayant transmises au SINP) de données, affichés dans les graphiques ci-dessus, sont issus des métadonnées transmises lors du versement des données sur la plateforme.