Harpactée pattes-rayées
Harpactea hombergi (Scopoli, 1763)
- 11 observations
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9
communes -
9
observateurs -
2
organismes -
Première observation
1876 -
Dernière observation
2019
Aubry-le-Panthou - Barneville-Carteret - Granville - Lyons-la-Forêt - Mont-Saint-Aignan - Ponts sur Seulles - Saint-Clair-de-Halouze - Saint-Pair-sur-Mer - Sées
Avertissement : Seuls les producteurs et les fournisseurs du jeu de données, renseignés dans les métadonnées, sont affichés dans la liste ci-dessous. Ces derniers auront, pour un même jeu de données, une part d'aide à la prospection égale. Par conséquent, les pourcentages affichés ne sont pas cumulables entre eux.
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Inventaire National du Patrimoine Naturel
Participation à 7 Observations
Part d'aide à la prospection : 63.64 %
Fiche organisme
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GRoupe d’ÉTude des Invertébrés Armoricains
Participation à 2 Observations
Part d'aide à la prospection : 18.18 %
Fiche organisme
Informations espèce
Europe occidentale, Afrique du Nord
Caractères distinctifs, espèces :
Taille - femelle : 4-6 mm, mâle : 4-7 mm.
Cette araignée possède des pattes assez fines, son corps est brun-rougeâtre, avec le céphalothorax plus foncé. Les six yeux de son groupe oculaire sont accolés, en cercle. Il y a une dizaine d’espèces d’Harpactea en France, H. hombergi se distingue par ses pattes bicolores claires avec des fémurs, tibias et basitarses partiellement assombris. Les deux sexes sont de taille semblable, l’abdomen du mâle est plus cylindrique. L’observation du bulbe du mâle est plus certaine pour l’identification de l’espèce, la vulva de la femelle peut être vue par transparence sous le tégument, mais l’identification est plus délicate par ce moyen. Pour identifier les femelles, la spinulation des pattes est employée.
Milieux colonisés :
Elle colonise des milieux souvent secs, au sol mais aussi parfois assez haut dans la végétation (troncs), en prairies ouvertes ou fermées, en landes, forêts, voire dans les habitations. On la découvre le jour sous des écorces, des pierres, dans la litière, ...
Chasse :
Elle se construit une loge tubulaire de soie blanche épaisse pour sa période d’inactivité. La nuit, elle se déplace rapidement au sol, sur les branches ou les troncs. Elle y capture les insectes qu’elle rencontre.
Développement, cycle :
Les adultes sont présents toute l’année, mais sont plus nombreux au printemps. Le cycle semble annuel. La femelle pond une vingtaine à une trentaine d’œufs roses dans sa retraite cocon qu’elle garde avec elle sans avoir tissé de cocon.
Source : fiche descriptive, INPN
Répartition actuelle en France métropolitaine
Cartographie issue de l'INPN - Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes au niveau national : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives.
Observations mensuelles
Avertissement : les observations sans date précise peuvent être enregistrées à la date du 01/01. La fréquence des observations au mois de janvier ne reflète donc pas nécessairement la réalité.
Sources des données du taxon
Avertissement : Les producteurs (personne en charge de la plateforme) et les fournisseurs (personne ou organisme ayant récupéré les données et les ayant transmises au SINP) de données, affichés dans les graphiques ci-dessus, sont issus des métadonnées transmises lors du versement des données sur la plateforme.