Pogonocherus hispidus (Linnaeus, 1758)
- 13 observations
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10
communes -
12
observateurs -
4
organismes -
Première observation
1999 -
Dernière observation
2020
Léry - Montfiquet - Nojeon-en-Vexin - Noues de Sienne - Passais Villages - Ponts sur Seulles - Sainte-Opportune-la-Mare - Saint-Martin-de-Boscherville - Tancarville - Tourouvre au Perche
Avertissement : Seuls les producteurs et les fournisseurs du jeu de données, renseignés dans les métadonnées, sont affichés dans la liste ci-dessous. Ces derniers auront, pour un même jeu de données, une part d'aide à la prospection égale. Par conséquent, les pourcentages affichés ne sont pas cumulables entre eux.
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Inventaire National du Patrimoine Naturel
Participation à 5 Observations
Part d'aide à la prospection : 38.46 %
Fiche organisme
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GRoupe d’ÉTude des Invertébrés Armoricains
Participation à 4 Observations
Part d'aide à la prospection : 30.77 %
Fiche organisme
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Parc Naturel Régional des Boucles de la Seine Normande
Participation à 3 Observations
Part d'aide à la prospection : 23.08 %
Fiche organisme
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Parc Naturel Régional et géoparc mondial UNESCO Normandie-Maine
Participation à 1 Observation
Part d'aide à la prospection : 7.69 %
Fiche organisme
Informations espèce
Diagnose :
Petit longicorne à téguments rouge-brun foncé, revêtu d’une pilosité mêlée rousse, blanche et brune. Les élytres à surface irrégulière, sont couverts à la base d’une large bande pileuse blonde soyeuse oblique. Toute la partie postérieure de l’élytre est brun sombre, chacun d’eux portant trois carènes longitudinales nettement soulignées de poils blanc et qui se rejoignent. Les pattes sont parsemées de longs poils raides blancs.
Détermination :
délicate.
Espèces proches :
Elle se distingue des autres Pogonocherus, par l’apex de ses élytres denté et son scutellum uniformément noir ou brun-noir velouté.
Période d’observation :
Les adultes sont actifs toute l’année.
Biologie-éthologie :
La larve très polyphage se développe dans les branchettes mortes de très nombreuses essences feuillues, y compris le lierre et le houx. Le cycle de développement s’effectue en un an.
Biogéographie et écologie :
Espèce répandue dans toute l’Europe. En France, elle est commune partout dans les forêts feuillues, les parcs et les bocages.
D’après :
- Berger, P. 2012. Coléoptères Cerambycidae de la faune de France continentale et de Corse - Actualisation de l'ouvrage d'André Villiers, 1978. Revue de l’Association Roussillonnaise d’Entomologie, supplément tome XXI, 664 p.
- Touroult, J., Cima, V., Bouyon, H., Hanot, C., Horellou, A., Brustel, H., 2019 – Longicornes de France Atlas préliminaire (Coleoptera : Cerambycidae & Vesperidae). Supplément au bulletin d’ACOREP – France, Paris. 176 p.
Source : fiche descriptive, INPN
Répartition actuelle en France métropolitaine
Cartographie issue de l'INPN - Avertissement : les données visualisables reflètent l'état d'avancement des connaissances et/ou la disponibilité des données existantes au niveau national : elles ne peuvent en aucun cas être considérées comme exhaustives.
Observations mensuelles
Avertissement : les observations sans date précise peuvent être enregistrées à la date du 01/01. La fréquence des observations au mois de janvier ne reflète donc pas nécessairement la réalité.
Sources des données du taxon
Avertissement : Les producteurs (personne en charge de la plateforme) et les fournisseurs (personne ou organisme ayant récupéré les données et les ayant transmises au SINP) de données, affichés dans les graphiques ci-dessus, sont issus des métadonnées transmises lors du versement des données sur la plateforme.